Salut !!
Ces quelques lignes alors que je n'ai pas terminé la série (presque), car c'est l'une des rares fois où je me prend au jeu de l'avance rapide, mais pour aller jusqu'au bout tout de même...
"Sermons de minuit", la "mini" série de Mike Flanagan , auteur de la majestueuse, mais très loquace " The Haunting of Hill House"...
The Haunting of Bly Manor, la saison 2, étant, pour moi, 3 crans en dessous...Déjà...
Réalisateur également de "Doctor sleep", la "suite" de "Shining"...Plutôt réussie...Mais bon !! Le sujet n'est pas là...
En réalité je ne sais trop quoi dire sur ces "Sermons de minuit" qui riment si bien avec ennui...Mais un ennui non dépourvu d'intérêt, car l'histoire n'est pas banale...
Disons que le mélange des genres est intéressant...Facile !! Mais intéressant...
Je vais pas faire un gros spoil, car le fond de 'l'intrigue" est dévoilé assez rapidement, en révélant que c'est un vieux un prêtre qui, faisant un pèlerinage à Jérusalem, s'égarant dans le désert,
découvre une ancienne citée, s'y réfugie et rencontre une "entité" qu'il prend pour un ange...Une entité qui lui rend sa jeunesse en lui faisant boire son sang...
Vous en tirerez les conclusions qui s'imposent...
Le problème, c'est qu'il prend la décision de ramener cet "ange" sur l'ile où se situe son petit troupeau de brebis plus ou moins égarées...
Et c'est là que les ennuis commencent...Pour les insulaires...Et pour le spectateur également !!
Parce-que, il faut bien l'avouer, Mike Flanagan a une très forte tendance à s'écouter écrire...Et lorsque vous entamez un scène de 20 minutes, avec 2 personnes assises dans un sofa, se demandant ce qu'il se passe après la mort !! L'effet est quasiment compulsif...La zapette !!...
LA zapette: Objet salvateur pour votre survie en milieu barbant...
GLOIRE en la zapette !! Et son avance rapide!!!
Parce-que, la scène du sofa n'est que la 1ère d'une looooongue série de dialogue d'une platitude déconcertante et poussant le spectateur dans les derniers retranchements d'une lassitude exacerbée par le pseudo recul d'un dogme péremptoire...En l'occurrence, celui du prêtre et de "sa croyance" en cet "ange"...
En résumé : C'est chiant !!
Par contre, dans ce domaine, les acteurs sont au top niveau !!... Nous avons tous une croix à porter......Enfin surtout eux, car nous...LA ZAPETTE !!
Pour l'instant je me suis arrêté à l'épisode se finissant comme se termine le film " 30 jours de nuit" de David Slade ...Car Mike Flanagan n'est même pas capable d'apporter quoique ce soit de nouveau à son oeuvre...
Le plus flagrant étant dans les questions "dites" philosophiques, déjà traitées pleinement dans "Dogma" de Kevin Smith et la série "American gods" de Bryan Fuller et Michael Green.
(Entre autres)...
Bref cette série, au bout de laquelle j'irai...Cela tenant plus du "voyeurisme" du coup...Me fait penser à une chanson d'Alain Bashung :
"Volutes", dans laquelle se trouvent les paroles suivantes :
Car l'écriture a, sans nul doute, été faite au fond d'un garage, martelée au fil des loooongs épisode, sans système sécuritaire...
"Clouer des clous sur des nuages" étant une métaphore spirituelle remplaçant la célèbre et plus pragmatique "défoncer des portes ouvertes"...
A voir, en se disant qu'on aurait pu éviter de le faire
Ces quelques lignes alors que je n'ai pas terminé la série (presque), car c'est l'une des rares fois où je me prend au jeu de l'avance rapide, mais pour aller jusqu'au bout tout de même...
"Sermons de minuit", la "mini" série de Mike Flanagan , auteur de la majestueuse, mais très loquace " The Haunting of Hill House"...
The Haunting of Bly Manor, la saison 2, étant, pour moi, 3 crans en dessous...Déjà...
Réalisateur également de "Doctor sleep", la "suite" de "Shining"...Plutôt réussie...Mais bon !! Le sujet n'est pas là...
En réalité je ne sais trop quoi dire sur ces "Sermons de minuit" qui riment si bien avec ennui...Mais un ennui non dépourvu d'intérêt, car l'histoire n'est pas banale...
Disons que le mélange des genres est intéressant...Facile !! Mais intéressant...
Je vais pas faire un gros spoil, car le fond de 'l'intrigue" est dévoilé assez rapidement, en révélant que c'est un vieux un prêtre qui, faisant un pèlerinage à Jérusalem, s'égarant dans le désert,
découvre une ancienne citée, s'y réfugie et rencontre une "entité" qu'il prend pour un ange...Une entité qui lui rend sa jeunesse en lui faisant boire son sang...
Vous en tirerez les conclusions qui s'imposent...
Le problème, c'est qu'il prend la décision de ramener cet "ange" sur l'ile où se situe son petit troupeau de brebis plus ou moins égarées...
Et c'est là que les ennuis commencent...Pour les insulaires...Et pour le spectateur également !!
Parce-que, il faut bien l'avouer, Mike Flanagan a une très forte tendance à s'écouter écrire...Et lorsque vous entamez un scène de 20 minutes, avec 2 personnes assises dans un sofa, se demandant ce qu'il se passe après la mort !! L'effet est quasiment compulsif...La zapette !!...
LA zapette: Objet salvateur pour votre survie en milieu barbant...
GLOIRE en la zapette !! Et son avance rapide!!!
Parce-que, la scène du sofa n'est que la 1ère d'une looooongue série de dialogue d'une platitude déconcertante et poussant le spectateur dans les derniers retranchements d'une lassitude exacerbée par le pseudo recul d'un dogme péremptoire...En l'occurrence, celui du prêtre et de "sa croyance" en cet "ange"...
En résumé : C'est chiant !!
Par contre, dans ce domaine, les acteurs sont au top niveau !!... Nous avons tous une croix à porter......Enfin surtout eux, car nous...LA ZAPETTE !!
Pour l'instant je me suis arrêté à l'épisode se finissant comme se termine le film " 30 jours de nuit" de David Slade ...Car Mike Flanagan n'est même pas capable d'apporter quoique ce soit de nouveau à son oeuvre...
Le plus flagrant étant dans les questions "dites" philosophiques, déjà traitées pleinement dans "Dogma" de Kevin Smith et la série "American gods" de Bryan Fuller et Michael Green.
(Entre autres)...
Bref cette série, au bout de laquelle j'irai...Cela tenant plus du "voyeurisme" du coup...Me fait penser à une chanson d'Alain Bashung :
"Volutes", dans laquelle se trouvent les paroles suivantes :
J'cloue des clous sur des nuages
Un marteau au fond du garage
J'cloue des clous sur des nuages
Sans échafaudage...
Car l'écriture a, sans nul doute, été faite au fond d'un garage, martelée au fil des loooongs épisode, sans système sécuritaire...
"Clouer des clous sur des nuages" étant une métaphore spirituelle remplaçant la célèbre et plus pragmatique "défoncer des portes ouvertes"...
A voir, en se disant qu'on aurait pu éviter de le faire